Roi de l'oiseau : clap de fin

Les fêtes du Roi de l'Oiseau soufflent leur 40 bougies. Voilà quatre décénnies que des archers tentent de pourfendre le Papagaï. Ce sont les cinq jours de fête les plus suivis en Haute-Loire puisque des dizaines de milliers de personnes viennent profiter des animations et vagabonder dans des rues de la cité ponote, où nos cinq sens nous font replonger au XVIe siècle.

Outre cet effectif, c'est aussi plus de 6 000 animateurs costumés qui se sont costumés pour la fête, parmi lesquels plusieurs troupes professionnelles, il ne manquait que le défilé de clôture où habituellement 30 000 personnes sont présentes.

Avec ces statistiques impressionnantes pour une ville de moins de 20 000 habitants, on en oublierai presque l'aspect humain, l'ambiance dans les rues entre deux spectacles. Voilà pourquoi Zoomdici vous propose de découvrir une série de clichés qui met en exergue les petits moments de tout un chacun qui font pourtant tout le charme de la fête.

Pas facile de monter sur des échasses, encore moins de les piloter, mais pour les amis c'est toujours amusant à regarder.

Une recette pour s'ambiancer en attendant le Roi ? Pour cela il vous faudra : des amis, une table et de la musique, tout simplement

L'escorte du Roi intéresse autant que sa Majesté.

Défiler avec le sourire à l'ombre des feuilles du parc Henri Vinay.

Frère Jacques, le roi des gueux. La légende raconte que, lors de la première utilisation de son costume il y a vingt ans, celui-ci sentait encore la patate.

Cantagallo Menestrello, venu d'Italie, sous les applaudissements de son public devant la mairie.

Rémi et Maxime, surplombant la foule, observent le couple royal qui reçoit des offrandes lors de la cérémonie, place du marché couvert.

La rue des tables bondée, difficile de ne pas s'y perdre.

Prenez garde à son crache flamme !

Déambuler dans les rues du Puy pendant les fêtes ça fatigue, alors autant prendre un peu de repos sur l'herbe du parc Henri Vinay vers la place des Marmitons.

Faites place et "Gloire au mout-mout" nous crie leur berger.

Dans les ruelles adjacentes à la rue des Tables, il était possible d'apercevoir un homme, appuyé sur son bâton, mystérieux et muet.

Ces enfants propulsés à toute vitesse sur ce carrousel tout droit venu d'un ancien temps. 

Voilà un petit intermède musical à base de bombarde, de cornet, et de sacqueboute en attendant le passage du Roi. 

Même à 1h30 du matin, le dimanche, entre deux averses, on sait s'amuser.