L'agent de sécurité partage sa version des faits

Ils n'étaient qu'une grosse centaine ce samedi 20 mars à avoir répondu à l'appel du collectif d'organisations pour le retrait du texte de loi sécurité globale adopté le 16 mars 2021 par le Sénat et qui va revenir devant l'Assemblée nationale dans les jours prochains.
Les prises de parole ont noté que si l'article 24, qui a fait tant débat à l'automne, a été réécrit, c'est "en pire" et qu'il n' y aurait pas d'autres alternatives que le retrait de ce texte et de son cortège de mesures liberticides qui doit venir renforcer un état d'urgence sanitaire utilisé comme prétexte selon les manifestants.
Contenus sponsorisés