Les prises de parole ont noté que si l'article 24, qui a fait tant débat à l'automne, a été réécrit, c'est "en pire" et qu'il n' y aurait pas d'autres alternatives que le retrait de ce texte et de son cortège de mesures liberticides qui doit venir renforcer un état d'urgence sanitaire utilisé comme prétexte selon les manifestants.