Depuis quelques jours, Emmaüs 43 a dû se résoudre à suspendre temporairement ces collectes de textiles. La raison : une surcharge de stocks de vêtements qui ne peuvent être ni traiter ni revendus et qui s’entassent sans trouver repreneur. Une problématique nationale qui touche aujourd'hui la Haute-Loire.
Dans le sillage de l’annonce, par l’inspection académique, de la disparition prochaine d’une quinzaine de classes en Haute-Loire, un vent de colère s’est abattu sur les écoles du département.
De Bains à Retournac en passant par Saint-Germain-Laprade parents d’élèves, équipes pédagogiques et élus se mobilisent pour contrer le « délitement du service public d’éducation ».
Après trois premiers accords de résilience signés le 30 novembre 2023, ce sont 21 nouvelles collectivités et quatre syndicats d’eau qui s’engagent avec l’agence de l’eau Loire-Bretagne en Haute-Loire. Objectif : être mieux armés pour faire face à la sécheresse et au dérèglement climatique.
Stop ou encore ? Les deux syndicats majoritaires de l'agriculture ont appelé ce jeudi 1er février à la levée des barrages après les annonces du Premier Ministre. Gabriel Attal a notamment promis des aides financières. Malgré cela une nouvelle manifestation hors syndicat est prévue ce vendredi en Haute-Loire. « Lui et ses ministres n'ont rien compris du message des agriculteurs », a réagi, de son côté, le sénateur altiligérien Laurent Duplomb.
Alors que la nouvelle carte scolaire fait débat et planche pour l'heure pour une suppression de treize classes en Haute-Loire, de nombreuses autres mesures font également réagir. C'est pourquoi enseignants, syndicats, parents d'élèves et élèves eux-mêmes se mobilisent en ce 1er février.
