On dit que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Melissa Roure, photographe yssingelaise que l'on ne présente plus tant ses clichés illuminent les pages de Zoomdici, a possédé le monde et la nuit du 12 mai... pour l'enfermer à jamais. Voici un échantillon de son trésor où la plus belle des fleurs apparait de toute sa grâce dans un champ d'étoiles.
"Le réveil a vibré dans le silence de la fin de nuit bien avant que les premiers rayons du soleil n'osent pointer. L'appel de la pleine lune des fleurs était une promesse que je ne pouvais manquer". Ainsi partage la croqueuse d'étoiles, Mélissa Roure, sur la page d'un réseau social.
"On comprend pourquoi les traditions amérindiennes l'ont baptisée ainsi, en écho à l'éclosion et à la beauté de la nature environnante". Mélissa Roure
Elle poursuit en ces mots : "Sortir dans l'obscurité fraîche, le ciel encore étoilé au-dessus, avec cette douce anticipation de capturer un moment éphémère, mais si magique... Et quelle récompense d'assister à la lente descente de cette lune majestueuse, auréolée d'une lumière particulière en cette période de floraison abondante, jusqu'à ce qu'elle vienne délicatement se poser derrière la silhouette sombre d'un de nos magnifiques sucs volcaniques".
La peau de la lune se dévoile pleinement aux regards des terriens.
Photo par Mélissa Roure
Les montagnes d'Yssingeaux, complices de la beauté à l'œuvre dans l'océan du vide.
Photo par Mélissa Roure
Les arbres de Gaïa et la Fleur d'Ouranos.
Photo par Mélissa Roure
Une lune de miel entre Dame sélène et le vertige cosmique.
Photo par Mélissa Roure