La retenue d’eau de Langogne a eu rendez-vous avec le brouillard pour un mariage d’une beauté sans nom, drapé de sombre et de mystère, d’ombre et de lumière. Le photographe Didier Hébrard a été le témoin d'honneur de ces noces majestueuses.
Il est coutume de dire qu’une image vaut mille mots. En voici un bel exemple avec cet article composé de photos, toutes issues de l’objectif de Didier Hébrard, voleur de « beau » et amoureux du coin.
Le lac de Naussac. Ce corps malmené par les changements à l'œuvre et à venir, son visage tant aimé par les gens du passé et d’aujourd’hui. Une perle d’eau emplie d’histoire.
Dimanche 3 novembre, l’eau des terres s’est liée avec celle des airs, embrassant doucement leur peau d’aquarelle, caressant l’écorce des arbres et les plumes des oiseaux. Pendant une poignée de temps, Didier Hébrard s’est égaré dans cette intimité, immortalisant la délicatesse et la fragilité du monde.
Un passage vers un autre monde ?
Photo par Didier Hebrard
Une image où l'on peut ressentir la douce respiration des éléments
Photo par Didier Hebrard
Notre étoile enflammée s'invite aux noces de l'eau.
Photo par Didier Hebrard
Quelques rides sur sa peau d'azur...
Photo par Didier Hebrard
Rester assis dans les herbes humides et juste regarder la beauté de l'instant.
Photo par Didier Hebrard
Une petite cabane coincée dans un paradis de branches et de coton.
Photo par Didier Hebrard
Chuuut... Le monde se réveille lentement sur le lac de Naussac.
Photo par Didier Hebrard
Moment de symbiose entre les plumes et l'eau.
Photo par Didier Hebrard
Quand le ciel et l'eau se confondent dans l'écrin mirifique de Naussac.
Photo par Didier Hebrard