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Attentats à Nice : des réactions en Haute-Loire

, Mise à jour le 27/11/2020 à 08:42

Dans la nuit de jeudi 14 à vendredi 15 juillet, un homme au volant d’un camion blanc a foncé dans la foule, rassemblée sur la très populaire promenade des Anglais à Nice pour les traditionnelles festivités du 14 Juillet et son feu d'artifices.
Il a fendu la foule et renversé les personnes se trouvant sur son chemin sur une distance de deux kilomètres. Selon les chiffres officiels à 10h, déjà 84 personnes ont trouvé la mort, dont plusieurs enfants, et 18 blessés se trouvent toujours en urgence absolue, selon le dernier bilan du ministère de l’intérieur. Le chauffeur du camion a été abattu.

L'état d'urgence prolongé
En pleine nuit, le Président de la République François Hollande a déclaré, depuis le palais de l'Elysée, dans une allocution nocturne : "le caractère terroriste de cette attaque ne peut être nié". Pour l'instant, l'acte n'a pas encore été revendiqué. On a seulement identifié le conducteur du camion, un franco-tunisien de 31 ans, déjà passé par la case prison.
L'état d'urgence, qui devait prendre fin dans quelques jours (le 26 juillet), a été prolongé de trois mois. Le chef de l'Etat réunit en ce moment (vendredi amtin) un conseil restreint de sécurité et de défense. À l'issue de ce conseil, François Hollande se rendra à Nice avec le premier ministre Manuel Valls.

Les réactions de Haute-Loire
Zoomdici vous propose un aperçu des réactions des personnalités politiques ou sportives de Haute-Loire qui ont tenu à afficher leur soutien sur les réseaux sociaux.

Moins enclin à l'utilisation des réseaux sociaux, c'est par un communiqué de presse que le Président du Conseil départemental de la Haute-Loire Jean-Pierre Marcon a réagi : 
"Nous sommes tous profondément choqués et sidérés par ce nouvel attentat qui a frappé Nice au moment où tant de familles profitaient des réjouissances de notre Fête Nationale du 14 Juillet. En totale union et compassion avec les familles des victimes, nous ressentons aussi une grande colère.
L’état d’urgence, plus que jamais indispensable, a permis le renforcement des moyens de nos forces de l’ordre qui ont pu déjouer d’autres attentats et mieux protéger les populations. Mais nous devons rester intransigeants et affirmer tous ensemble notre ferme volonté de poursuivre sans relâche ces fanatiques qui, malgré toutes les horreurs qu’ils commettent, ne parviendront pas à nous désunir et nous terroriser
".