Je signale une erreur

Précisez éventuellement la nature de l'erreur

La musique devient indissociable du 7ème art

, Mise à jour le 27/11/2020 à 05:53

Le président de l'association " Le Disjoncteur " , Vincent Violon, a choisi d'amener un nouveau projet d'association : changement de lieu, de projet général avec l'introduction de musique au travers d'un concert de clôture et d'intermèdes musicaux. Avec cette idée, il est devenu évident pour l'association de monter un partenariat avec les Ateliers des Arts du Puy.

----Palmarès 2014 :
Prix du jury
: Symphony N°42 (Moholy-Nagy university of Art and Design Budapest)
Prix de la ville du Puy : Symphony N°42 (Moholy-Nagy university of Art and Design Budapest)
Mention spéciale du jury et de la ville du Puy : Le blanc du noir (EMCA 3D Paris)
Prix du public : Nyuszi és Öz / Rabbit ans Deer (Moholy-Nagy university of Art and Design Budapest)-----La dimension musicale en plus
Vincent Violon a justifié les changements : " Parmi les courts métrages, il y a beaucoup de films d'animation donc de l'audio et du visuel. L'audio est très important. On voulait amener cette dimension musicale là au festival entier et toucher un public plus large ". Un partenariat avec l'association " L'arbre à sons " a été établi. C'est grâce à celui-ci que groupe " Eddy Beaurivage " donne un concert pour clôturer le festival. Ils ont commencé aux côtés de Tété et de Camille avant de se lancer seuls.

Les films hongrois ont la cote
Malheureusement, le beau temps n'a pas aidé le public à venir s'enfermer dans la salle de projection du Centre. Même si le Festival accuse une petite baisse de fréquentation, les organisateurs se disent satisfaits de cette 8ème édition. Le cru 2014 a, lui, été riche en surprises. Cette année, 38 courts métrages ont été retenus sur les 120 reçus. Parmi eux, seuls trois ont été réalisés par des étudiants auvergnats du lycée Renée Descartes de Cournon. D'autres nous viennent de l'étranger comme l'Université de Budapest qui a présenté six courts métrages dont deux ont été primés.

Pour la suite, Vincent Violon, aimerait que le festival reste aux Ateliers des Arts : " On essaye de trouver notre place, on est encore un jeune festival. Mais nous sommes bien ici, c'est vraiment un lieu dédié aux arts. C'est très adapté ". Le partenariat devrait être développé avec, pourquoi pas, l'intégration d'autres formes artistiques.

E.J.