"Ceux de la Haute-Loire - 1939/1945" un film présenté par le souvenir Français

Jeudi 18 janvier dernier, le préfet de Haute-Loire, Yvan Cordier, a tenu une longue conférence de presse autour de ses préoccupations pour l'année à venir. L’occasion pour lui de détailler l’une des grandes priorités de l’État : l’action en faveur du développement des territoires ruraux.
Cinq grandes priorités locales
Le premier représentant de l’État en Haute-Loire a alors partagé son analysé point par point de la situation de son territoire et détaillé aux journalistes, ses cinq grandes priorités :
Investir massivement dans les territoires et soutenir les projets des collectivités rurales
L’État au chevet des collectivités rurales :
En 2023, 19 millions d’euros ont été investis par l’Etat en Haute-Loire pour soutenir les collectivités locales.
C’est, selon le préfet Yvan Cordier, « 44% de plus qu’en 2017 ».
À la suite du grand débat national, initié en janvier 2019 par le président de la République, l’État a souhaité déployer de multiples initiatives pour « répondre aux attentes légitimes des territoires ruraux ».
Ces différentes initiatives de soutien s’appuient sur une large augmentation des dotations de l’Etat aux collectivités locales qui ont cumulé, en 2023, à plus de 19 millions d’euros pour le seul département de la Haute-Loire.
Différents dispositifs ont ainsi pu être appliqués ou vont l'être prochainement, tels que :
Maintenir un service éducatif de qualité sur tout le territoire
Le TER, qu’es aquò ? :
Le dispositif « Territoires éducatifs ruraux » met en réseau plusieurs écoles autour d’un collège-centre de rattachement.
Il est envisagé au sein d’un « bassin de vie » pour :
Dans sa feuille de route de soutien aux territoires ruraux, le préfet de Haute-Loire consacre enfin une large place à l’Ecole et entend maintenir un service éducatif de qualité sur l’ensemble du territoire.
Malgré une démographie scolaire en baisse, Yvan Cordier se félicite notamment de « l’accroissement du nombre de moyens par élève » : « Avec 2200 élèves en moins depuis dix ans, la Haute-Loire aurait dû perdre 87 postes d’enseignants. Grâce aux efforts conjoints des services de l’État et de l’Éducation Nationale, seuls 17 postes ont été retirés ».
À la suite du Directeur des services de l’Education Nationale, le préfet altiligérien appuie également la mise en place et le déploiement du dispositif « Territoires éducatifs ruraux » dont bénéficient et devraient bénéficier les collèges de Paulhaguet, du Chambon-sur-Lignon et de Landos.
L’ambition affichée demeure intacte : maintenir un service public de qualité en milieu rural et faire en sorte qu’un élève de Haute-Loire ait la même qualité d’éducation que sur le reste du territoire national.
Vos commentaires
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1 commentaire
La photo illustre bien le paysage rural que l'on peut voir durer en Hte-Loire.Avec une agriculture honnête donc assez forte pour assurer une vie correcte aux agriculteurs mais aussi la vie de la nature .
. Est-ce ce que défend la FNSEA ?Quand on sait que son président est à la tête de centaines d'hectares on doute .Ce type de personne n' a guère de ressemblance avec les exploitants auvergnats .