Très grosse journée pour les pompiers de Haute-Loire
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Un roman fantastique et drôle aux deux niveaux de lecture
Elle y tient à son second prénom. Azelma, personnage des Misérables de Victor Hugo. Solène Azelma Sigaux est la petite fille de Gilbert Sigaux, écrivain des années 1960. « Je ne l’ai jamais connu malheureusement, mais mes parents m’ont transmis sa passion », confie-t-elle. La jeune fille grandit en région parisienne, s’essaye à différents arts, passe son bac Littéraire, fait des traductions anglais-français à son compte, écrit des petits textes… Un jour, elle se lance un défi, celui d’écrire un roman entier. Elle réussit. Il s’appelle En toute transparence : « Il s'agit d'un livre fantastique accessible dès 12 ans traitant à la fois de magie, de problèmes d'ados et de crises existentielles. » A force de vouloir être transparente, une jeune fille de 17 ans le devient vraiment*.
Parallèlement, Solène Azelma Sigaux s’installe à Coubon, au hameau de Dempeyre voilà de cela deux ans. Vous l'avez déjà peut-être croisée au rayon fromage du magasin Biocoop Echo Nature à Aiguilhe. Depuis le printemps et la publication de son premier roman aux Editions Rebelle le 5 mai dernier, c’est en librairie ou sur des salons du livre qu’on croise la jeune femme de 28 ans (à Cournon d’Auvergne ou encore Orange).
A Coubon ce lundi
Ce lundi 11 septembre, Solène Azelma Sigaux ira une nouvelle fois à la rencontre des lecteurs à la médiathèque de Coubon, son village d’adoption. Elle y présentera En toute transparence à partir de 18h30 (entrée libre). Ce sera aussi pour elle, l’occasion d’évoquer son deuxième roman en cours d’écriture : Les Contes de l’Absurditerre. « C’est un roman d’anticipation, confie-elle, il traite de sujets d’actualité tournés, encore une fois en fantastique, en dérision, comme l’argent ou la maltraitance animale, toujours dans l’idée de faire rire les lecteurs, et parler d’un monde utopiste éventuellement. »
Annabel Walker
*L’avis du lecteur
« La lecture de ce conte philosophique drôlatique est assez jubilatoire. L’écriture est « visuelle ». Il est facile d’imaginer tous les protagonistes dans les situations loufoques décrites dans le livre. J’ai vraiment eu le sentiment d’entendre parler une véritable ado ou jeune adulte. Si le propos et la forme sont originaux, le fond tient la route. La longueur est pile poil comme il faut. Quand on finit le livre, on est heureux. En fait, un livre à mettre entre toutes les mains dès 10 ans, je dirais. » Marie-Céline, Altiligérienne dévoreuse de livres.
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