La CPAM Haute-Loire mobilise 59 400 € pour soutenir les associations locales
L'arrivée de la dernière saison de l'année, c'est le froid, ce sont les foulards et les nez "enrhubés", les joues rougies par le vent glacial et le vin chaud des marchés. Mais c'est aussi les yeux brillants des enfants devant chaque Papa Noël. Et comme à l'accoutumée, le géant de l'avenue des Belges est présent avec tous ses "potos".
Durant ce mois de décembre, il est de tradition que les sapins se garnissent de guirlandes et de boules colorées, accompagnés des décorations qui clignotent généreusement sur les balcons.
Si certains se contentent d'un bon nordmann d'1,20 m, d'autres expriment un enthousiasme plus débordant pour l'occasion. En exemple, le méga Père Noël XXL qui réapparaît à chaque édition au dernier étage d'une habitation, en face de l'immeuble de l'Anjou.
Paternataliphile ? C'est le fait de collectionner toutes les figurines en rapport avec le Père Noël. À l'inverse, la paternatalophobie est la peur irrationnelle des Pères Noël.
Si vous remontez l'avenue des Belges dans le sens le Puy/Brives-Charensac, jetez rapidement un coup d'œil sur votre gauche. Si vous ne le voyez pas, il est temps, pour vous, de consulter un ophtalmo. Là, se dresse un Papa Noël d'environ 4 mètres de haut, qui vous salue de toute sa hauteur.
Olaf et Teddy Riner sont de la partie
À ses côtés, un second Père Noël refait le monde avec son copain Olaf, bonhomme de neige drapé d'un chapeau noir et d'une écharpe rouge et verte. Enfin, relégué à l'étage en dessous, un autre bonhomme de neige de la taille de Teddy Riner se contente de faire les gros bras avec ses épais gants bleus.
Ce sacré personnage et sa fidèle équipe rappellent ainsi, de façon très visible, que les fêtes de fin d'année approchent à grand pas. Et que surtout, "Petit Papa Noël, Quand tu descendras du ciel, Avec des jouets par milliers, N'oublie pas mon petit soulier" (Tino Rossi).
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