La contre-attaque du candidat RN contre Laurent Wauquiez
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Depuis le 1er août, la Commission départementale de consommation des espaces agricoles (CDCEA) évolue pour devenir la Commission départementale de la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers (CDPENAF). Désormais, les acteurs seront plus nombreux pour donner leur avis sur les projets d'urbanisme du département. Ce jeudi 13 août à 14h, ils se sont tous retrouvés à la Préfecture pour une première réunion.
Plus d'acteurs pour plus de concertation
La commission se réunit douze fois par an, soit une fois par mois pour discuter des dossiers d'urbanisme. Leur but est simple : la préservation des espaces agricoles. L'avis rendu est consultatif mais " il pèse dans les décisions ", affirme Pierre Goron, directeur-adjoint de la Direction départementale des territoires de Haute-Loire. Dans certains cas, la voix de la commission doit être obligatoirement suivie. L'avis de la commission est également important pour régler les conflits d'usage. " Il y a plus de concertation avec les représentants des usagers potentiels. "
" Un exercice particulièrement délicat "
Toute la Haute-Loire n'est pas logée à la même enseigne face à la pression foncière. " Elle est forte au Puy-en-Velay et son agglomération ", précise Clément Rouchouse, secrétaire général de la préfecture de Haute-Loire. Ailleurs, " la consommation de l'espace agricole n'est pas forcément flagrante. Il faut attendre 5 ou 10 ans pour le voir donc c'est un exercice particulièrement délicat ", détaille Clément Rouchouse. Il y a de moins en moins d'agriculteurs sur le département, la tentation d'utiliser ces espaces pour d'autres projets est d'autant plus grande.
La commission est maintenant composée :
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