Apér’Ethik : débat sur la fin de vie au Puy ce mercredi 1er mars

, Mise à jour le 27/02/2023 à 16:00

Dans le cadre du débat sur la fin de vie, est organisé ce mercredi 1er mars à 18h, salle Jeanne d’Arc, 13 avenue de la cathédrale, un Apér’Ethik. À l’initiative de l’association Instance Ethique 43 et en collaboration avec plusieurs structures, plusieurs intervenants prendront un temps de parole afin de présenter les enjeux de la fin de vie.

Ils aborderont les questions médicales, mais également philosophiques et sociétales qui ont trait à la fin de vie. Un éclairage juridique sera également apporté. La majeure partie de la soirée sera consacrée aux échanges avec le public participant. À l’issue des débats, les discussions pourront se poursuivre autour d’un apéritif partagé entre tous.

Cette soirée entre dans le cadre du débat voulu par les pouvoirs publics. La question posée est de savoir s’il y a lieu de modifier la loi actuelle (Loi Claeys-Leonetti de 2016) et dans ce cadre légaliser ou non le suicide assisté et/ou l’euthanasie. Outre la Convention citoyenne sur la fin de vie qui réunit 184 personnes et dont les premiers échanges ont donné lieu à un rapport d’étape rendu récemment, des débats sont organisés un peu partout dans le pays.

La Haute-Loire, actrice du débat

C’est ainsi que dans le département de Haute-Loire, plusieurs rencontres ont déjà eu lieu, à Yssingeaux, à Monistrol, à Brioude. Le contenu des échanges sera synthétisé et remonté au niveau national ; il alimentera, avec les conclusions de la Convention citoyenne sur la fin de vie, la réflexion du gouvernement et du législateur pour une possible évolution de la règlementation dans notre pays. Si la participation à la soirée est gratuite, il est vivement conseillé de s’inscrire, soit par courriel, contact@ethique-43.fr, soit à partir du site Internet >ici<

À noter aussi, le vendredi 10 mars à 20h, au cinéma de Tence, projection du film Plus que jamais, suivi d’un débat autour du médecin responsable du Service de soins palliatifs de l’Hôpital Emile Roux, Isabelle Chazot et de membres du Comité d’Ethique 43.

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