À la recherche de la perle rare rue des Arts

, Mise à jour le 27/11/2020 à 08:53

Du fusing, des créations en bois, de la poterie, de la céramique, des chapeaux, des tabliers, des sacs, des accessoires de mode, des bijoux, des costumes pour le Roi de l'Oiseau... La liste serait trop longue à développer tant l'éventail de créations locales proposées à la Rue des Arts est étoffé. 
Durant la période estivale, toutes les boutiques éphémères mises à disposition des artisans d’art locaux sont ouvertes, pour une durée de cinq mois. L'objectif de la collectivité est de faire le lien entre ville haute et ville basse, ces rues devenant ambassadrices du savoir-faire local.
Une des nouveautés cette année concerne les animations proposées par les artisans, avec des démonstrations et des stages qui s'adressent donc aux Altiligériens en priorité, enfants comme adultes (sur inscription).

>> Pour retrouver le détail des boutiques et le, programme des ateliers proposés, cliquer ici.

La rue des Arts, cette perle rare
Créations de bijoux, accessoires de mode, arts de la table, ou encore articles de bureau, et objets décoratifs, confectionnés avec des éléments en verre, et réalisés en verre filé directement dans l’atelier : c'est ce que propose Séverine Leblond, que nous avons suivi lors d'un stage proposé à Barbara ce mardi 17 juillet au coeur du Puy-en-Velay.

 

Deux nouveaux locaux pour laisser moins d'artisans d'art sur le carreau
40 € par mois pour mettre en valeur ses produits au coeur de la cité ponote en pleine saison estivale, c'est une offre "impossible à refuser", nous confiaient déjà les artisans rencontrés l'été dernier. Ils étaient si nombreux à postuler pour ce concept proposant un loyer quatre fois moindre environ qu'une quatrième boutique avait vu le jour, laissant malgré tout quelques artisans d'art sur le carreau.
Ils sont donc plus nombreux cette année, avec un total évalué à une cinquantaine d'artisans d'art. Pour les accueillir, la commune a acquis deux nouveaux commerces : un premier au n°13 de la rue Chènebouterie, et un deuxième au n°54 rue Grenouillit. 

Maxime Pitavy

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